Pensée à l'intention des étudiants, des maîtres et tous les amateurs de la littérature négro-africaine, la collection COMPRENDRE ouvre à la compréhension fructueuse soit d'un auteur, soit d'un genre, soit d'un courant littéraire.
Du primaire à l'université, l'exploitation des ressources patrimoniales à des fins pédaÂgogiques suscite un intérêt grandissant chez les enseignants et les formateurs. Grâce à la richesse et à la diversité du patrimoine culturel, ces derniers peuvent envisager des formules pédagogiques originales, dans différents contextes d'enseignement, pour répondre à des objectifs très divers. Les traces du passé permettent aussi d'appuyer l'enseignement sur l'expérience d'une communauté ; elles permettent aux élèves et aux étudiants de s'éveiller à cette expérience, d'y ancrer des apprentissages et de s'insÂcrire dans sa continuité.
Dans cet ouvrage, des enseignants et des chercheurs partagent leurs pratiques, leurs expériences et leurs réflexions sur l'exploitation des ressources patrimoniales dans l'enseignement. Quel est ce patrimoine auquel s'intéressent les enseignants ? Comment devient-il une ressource pédagogique ? Dans quels contextes disciplinaires et à quelles fins est-il mobilisé ? Quelles stratégies originales, quelles pratiques novatrices sont mises en oeuvre ? Dans quelle mesure favorisent-elles un éveil au patrimoine et à son appréhension critique ? Enseignants, formateurs, chercheurs et étudiants trouveÂront dans cet ouvrage une esquisse d'un nouveau champ de recherche et d'intervention multidisciplinaire.
Participant d'une nouvelle dynamique pour penser le temps et les temporalités en Information-Communication, cet ouvrage aborde un ensemble d'interrogations aussi bien du point de vue des théories que des méthodes. Ces interrogations débouchent sur une réflexion épistémologique sur les temporalités de la recherche en SIC qui permet de prendre en compte la dimension historique des phénomènes info-communicationnels et d'interroger les transformations induites par les temporalités des technologies numériques sur les pratiques et méthodes de recherche.
À l'approche de Noël, la question se pose : pourquoi donne-t-on? Celui qui reçoit a-t-il voix au chapitre? Au-delà de la charité, le don est un mode de circulation des choses qui existe dans toutes les sociétés humaines - même si le marché tente d'imposer son hégémonie sur toute relation d'échange, fragilisant par le fait même le lien social. Dans la tradition chrétienne, cette réalité a été relue à travers les notions de grâce et de don de soi. Ce dossier cherche à montrer la centralité du don - trop souvent sous-estimée - dans la recherche d'un nouveau modèle de société axé sur la réciprocité, le partage et le désintérêt.
Cinquante ans après leur création, Le chat dans le sac de Gilles Groulx et À tout prendre de Claude Jutra ne peuvent nous laisser insensibles à leur quête de liberté, tout comme aux doutes et tourments qui les habitent. De quelle manière ces deux films résonnent-ils encore aujourd'hui? Ce dossier de 24 images cherche à réaffirmer l'inaltérable actualité du cinéma de Groulx et de Jutra en replongeant d'abord dans l'esprit de l'époque (témoignages d'artisans ayant oeuvré sur les deux films; récits de cinéastes sur leur rapport avec ces deux oeuvres) puis en créant des parallèles avec le jeune cinéma québécois actuel (absence de portée politique et sociale, « néovérisme » pessimiste, etc.).
Certains films plus que d'autres ont le pouvoir d'habiter nos rêves et nos pensées bien au-delà de leur vision. L'espace de liberté que quelques-uns portent en eux nous aide à repenser constamment le cinéma, et à penser avec lui. Les films de Jean-Luc Godard sont de ceux-là , et le choc ressenti devant Adieu au langage a suscité un ensemble de textes conçus à la lumière de ce film et des horizons qu'il ouvre. Partant de ce film d'une richesse fabuleuse, ce numéro de 24 images a aussi tenté de voir comment d'autres cinéastes actuels affrontent la question du langage au cinéma, notamment grâce aux analyses de quelques films présentés cet automne : Atlas d'Antoine D'Agata, Journey to the West de Tsaï Ming-liang et Still the Water de Naomi Kawase, entre autres.
On ne peut plus parler ni du cinéma, ni du spectateur comme on le faisait il y a 10 ou 20 ans. L'évolution des technologies, en affectant ceux qui les utilisent, reconfigure sans cesse notre rapport au monde. Comment cette mutation du regard du spectateur s'opère aujourd'hui et quel avenir nous permet-elle d'entrevoir? Cette édition de 24 Images est presque entièrement consacrée à cette question, réunissant des textes qui explorent une grande diversité de voies. Une entrevue avec la philosophe française Marie-Josée Mondzain, spécialiste de l'art et des images, nourrit ces réflexions. Hors dossier, le Dictionnaire des films québécois de Marcel Jean, un essai sur Timbuktu d'Abderrahmane Sissako et un DVD compilation de sept courts métrages québécois de La distributrice de films.
Dans son numéro 07 (printemps-été 2015), Nouveau Projet dédie son dossier aux nouvelles frontières-tangibles et moins tangibles-du
Québec moderne. De ses limites territoriales parfois contestées aux barrières culturelles et linguistiques persistantes (ou non?), en passant par le regard de migrants étrangers et bien d'autres angles, Nouveau Projet déplie le concept de frontière et ses différentes incarnations dans le Québec d'aujourd'hui.
Le Canada a-t-il troqué les Casques bleus, l'aide au développement et le Cirque du Soleil contre les chasseurs à réaction, les coups de force dans l'Arctique et le rôle de mauvais garçon dans les sommets internationaux? Dans ce cinquième numéro, le magazine Nouveau Projet se penche sur la question du déclin du soft power canadien, avec un dossier de quatre textes qui l'explorent chacun à leur façon, dont l'un, très personnel, écrit par David Suzuki, le grand environnementaliste canadien anglais.
Est-il possible de faire une revue de l'année autrement? C'est le pari que relève l'équipe du magazine Nouveau Projet avec son tout premier RétroProjecteur, un innovant numéro hors-série confié à une rédactrice en chef (Miriam Fahmy) et deux directeurs artistiques invités (Catherine Lepage et Simon Rivest, studio Ping Pong Ping).
Nicolas Bouvier, Bruce Chatwin, James Crumley, Jim Harrison, Jacques Lacarrière, Jacques Meunier, Redmond O'Hanlon, Hervé Prudon, Salman Rushdie... Quelques noms parmi tant d'autres, pour un exceptionnel panorama de la littérature voyageuse. Quelques noms et une formidable aventure initiée par Michel Le Bris en 1990, avec la création du festival « Étonnants Voyageurs », à Saint-Malo, puis de la revue Gulliver.
« Un jour, parce que j'étouffais dans les modes de l'époque, qu'il me fallait un autre espace, où respirer un peu plus large, je décidai que c'était trop, et qu'il fallait se battre, pour une littérature plus aventureuse, plus voyageuse, ouverte sur le monde, soucieuse de le dire. En rassemblant les petits enfants de Stevenson et de Conrad partout, de par le monde.
"Tout grand livre, écrivait Stevenson, est quelque part un récit de voyage." Nulle école, nul dogme, nulle forme obligés, mais la conviction affirmée que c'est l'épreuve de l'autre, de l'ailleurs, du monde, qui, seule, peut empêcher la littérature de se scléroser en modes, en formes vides. La quête de cette parole vive, portée à incandescence par les artistes, les poètes et les écrivains, en nommant le monde, nous le donne à voir et l'invente, le revivifie.
Un lieu, un texte, et le regard croisé d'un(e) inconnu(e) au bout du monde : dans le voyage se joue peut-être le retour à une vérité un peu trop oubliée de la littérature : écrire, c'est toujours s'en aller.
Les dix ans d'un festival au succès non démenti, la nouvelle naissance de la revue Gulliver (Librio), ont paru une belle occasion de vous livrer cette anthologie : le meilleur des récits de voyage publiés au fil des numéros de Gulliver. Allons ! Stevenson avait raison : "Le Dehors guérit." »
Michel Le Bris
En couverture de ce numéro, Avant les rues, premier long métrage de Chloé Leriche, qui jette un regard sur la culture méconnue des Atikamekws. Ciné-Bulles propose un entretien en primeur avec la réalisatrice. La sortie de la biographie de Claude Jutra par Yves Lever a créé tout un émoi au Québec. Une entrevue avec l'auteur, la plus exhaustive publiée jusqu'à présent, permet d'en apprendre davantage sur les intentions de Lever ainsi que son immense travail de recherche. Aussi au sommaire de ce numéro, des hommages aux réalisateurs Ettore Scola et Jacques Rivette ainsi qu'à David Bowie, tous trois disparus en janvier dernier, un entretien avec Louis Bélanger pour son nouveau film Les Mauvaises Herbes et la chronique Histoires de cinéma sur le grand classique du comique de Jacques Tati, Playtime.
« Sujets casse-gueule, paris réussis », c'est non seulement le titre du mot de la rédaction qui ouvre l'édition automnale de Ciné-bulles, mais aussi un excellent résumé des films couverts dans ce numéro. En effet, Barbara de Mathieu Amalric, un biopic pas comme les autres sur une chanteuse du même acabit et le documentaire DPJ de Guillaume Sylvestre, incursion en douceur dans une institution où le quotidien des travailleurs est fait de moments déchirants, constamment sur la corde raide, relèvent avec brio les défis que leur sujet pose. Destierros d'Hubert Caron-Guay, documentaire sur les migrants d'Amérique du Sud qui, passant par le Mexique, cherchent à atteindre les États-Unis ou le Canada, est de la même trempe. Le numéro propose aussi, entre autres, une critique du film 120 battements par minute de Robin Campillo, de Lucky de John Carroll Lynch et un article de fond sur Stalker d'Andreï Tarkovski.
En couverture, le dessin automobile, une illustration de Roland Giguère dont le travail typographique est le sujet d'un brillant essai recensé dans ce numéro comme c'est le cas pour l'éblouissement provoqué par l'oeuvre de Gilles Tremblay.
Dans ce numéro, on observera également la vie et les réalisations de personnages ambigus, lumineux, fragiles, déterminés révélant des pans de notre histoire et de notre culture.
Les Cahiers de lecture de L'Action nationale ont publié plus de 700 recensions d'essais québécois depuis leur première parution en 2007.
Le nouveau film de Maxime Giroux, Félix et Meira, trône en page couverture de ce numéro de Ciné-Bulles. Avec une virtuosité et une sensibilité semblables à celles du réalisateur, le critique Luc Laporte-Rainville présente ce grand film, qui met en scène une histoire d'amour non conventionnelle entre un héritier francophone excentrique et une jeune mère juive hassidique. De plus, pour marquer la sortie de Deux jours, une nuit, le 9 janvier, on trace le portrait du cinéma des frères Dardenne; on découvre l'exposition Stanley Kubrick: The Exhibition; et on commente plusieurs films à venir sur les écrans, dont The Price We Pay d'Harold Crooks.
À l'image du caractère insaisissable de son sujet, énigmatique à souhait, la couverture de ce numéro de Ciné-Bulles est consacrée au Profil Anima, documentaire de Sophie Deraspe. Une oeuvre « au diapason de la politique internationale et de nos obsessions virtuelles qui génèrent un mystère abyssal, vertigineux, sans fin », selon Zoé Protat qui a analysé le film pour nous. Un entretien de Nicolas Gendron avec la réalisatrice nous convainc de toute la pertinence de ce film. Des entrevues avec Mathieu Denis, réalisateur de Corbo, puis avec Rafaël Ouellet pour son 6e opus, Gurov et Anna, sont aussi au sommaire de cette édition, chacune étant suivies d'un texte critique. Finalement, la chronique « Histoires de cinéma » se penche sur le cinéma de Godard, plus spécifiquement sur Sauve qui peut (la vie), 35 ans après sa sortie.
Dans ce numéro de Ciné-Bulles, un entretien en primeur avec Mina Shum qui signe le documentaire Ninth Floor sur les événements méconnus survenus à l'Université Concordia en 1969 (autrefois Sir George Williams) alors que des étudiants noirs accusaient un de leurs professeurs de racisme. OEuvre de mémoire qui fait la une de ce numéro. Également au sommaire de cette édition, des entretiens avec les réputés directeurs de la photographie André Turpin et Michel La Veaux qui ont réalisé, respectivement, le long métrage Endorphine et le documentaire Hôtel La Louisiane. Aussi, un retour, sous forme de portrait, sur le cinéma de Paolo Sorrentino, à l'occasion de la sortie de Youth. Et la chronique Histoires de cinéma raconte l'héritage à plusieurs égards du classique The Godfather de Francis Ford Coppola.
L'édition hivernale de Ciné-Bulles met de l'avant Luc Bourdon et son oeuvre de montage La Part du diable portant sur le Québec des années 1970 et réalisée à partir d'extraits de 200 films de l'ONF. Michel Coulombe s'est entretenu avec le cinéaste et Nicolas Gendron signe le commentaire critique de cet opus qui sortira en février. Également à l'avant-plan, lisez des critiques de The Square de Ruben Östlund et The Killing of a Sacred Deer de Yorgos Lanthimos. Ciné-Bulles se penche aussi sur l'exposition Il était une fois... le western - Une mythologie entre art et cinéma présentée au Musée des beaux-arts de Montréal, et constate qu'à trop embrasser, mal on étreint. Suivent un entretien avec Catherine Martin, réalisatrice de Certains de mes amis, et un retour sur Pather Panchali de Satyajit Ray. Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve fait également l'objet d'une riche et pertinente analyse par Jean-Philippe Gravel.
En couverture du numéro d'hiver de la revue Ciné-Bulles, retrouvez Portrait de la jeune fille en feu, un film de Céline Sciamma ayant remporté le Prix du scénario au dernier festival de Cannes. Le long métrage raconte une histoire d'amour impossible au XVIIIe siècle entre une peintre et son modèle. Frédéric Bouchard en signe le commentaire critique. Le numéro présente aussi deux entretiens, l'un avec le Winnipegois iconoclaste Matthew Rankin dont le premier long métrage prendra l'affiche prochainement. Le réalisateur est déjà bien connu des adeptes d'animation et de cinéma expérimental. Le second entretien a été mené avec Guillaume de Fontenay dont le premier long métrage, Sympathie avec le diable, raconte l'histoire vécue du siège de Sarajevo en 1992 à travers les yeux du correspondant de guerre Paul Marchand. Aussi au sommaire : un portait du cinéma de Ken Loach, un retour sur Où êtes-vous donc ? de Gilles Groulx en 1969 et une analyse du Joker de Todd Phillip, entre autres.
Le numéro printanier de la revue Ciné-Bulles s'ouvre sur un entretien de Marie Claude Mirandette avec François Delisle à propos de son plus récent long métrage, Cash Nexus (en salle le 22 mars). La critique du film qui fait la couverture du numéro est signée par Frédéric Bouchard. Aussi au sommaire de ce numéro : des entretiens avec Philippe Lesage pour Genèse et Robin McKenna pour Gift; des critiques des films Burning de Lee Chang-dong, The Favourite de Yórgos Lánthimos et Amanda de Mikhaël Hers; une analyse de l'oeuvre Un amour impossible sous l'angle Du livre au film; un bilan des documentaires québécois sortis en 2018; et un retour sur 1900 de Bernardo Bertolucci dans la rubrique Histoires de cinéma.
En couverture de son numéro du printemps, la revue Ciné-Bulles présente le film Garçon chiffon de Nicolas Maury. Le cinéaste accorde une longue entrevue et Ambre Sachet signe le commentaire critique de ce premier film délicat. Cette année marquant le 50e anniversaire de l'Association coopérative de productions audio-visuelles (ACPAV), Charles-Henri Ramond offre un portait de cette boîte de production presque aussi vieille que le cinéma québécois. Retrouvez aussi au sommaire un second entretien, celui de Nicolas Gendron, avec le réalisateur Matthew Bissonnette pour son long métrage Death of a Ladies' Man qui marche dans les pas de Leonard Cohen, puis Ambre Sachet aborde le domaine de l'éclairage dans la série sur la présence féminine dans les métiers du cinéma. Marie-Claude Mirandette, elle, signe deux articles, l'un sur une autre sortie française annoncée pour les prochaines semaines, La Daronne de Jean-Paul Salomé pour la rubrique du Livre au film et l'autre pour la section Histoires de cinéma sur Once Upon a Time in America de Sergio Leone.
Dans ce numéro : pour la sortie du sublime De rouille et d'os, Nicolas Gendron, sur 6 pages, passe en revue la filmographie du remarquable cinéaste qu'est Jacques Audiard. Huit pages sur Catimini dont un long entretien avec sa réalisatrice, Nathalie Saint-Pierre. Un texte détaillé sur le travail des cinéastes d'animation Quay à l'occasion de l'exposition au MoMA : Quay Brothers : On Deciphering the Pharmacist't Prescription for Lip-Reading Puppets. Dix pages - un texte exclusif - sur les guides de scénarisation. Des analyses de la filmo d'Alain Resnais sous l'angle de son approche théâtrale et des oeuvres Le Torrent et The Master. Aussi, des textes sur les films The End of Time, Amour, Life of Pi, A Late Quartet, À perdre la raison, Après la neige, Avant que mon coeur bascule, Dans la maison, Ésimésac, Frankenweenie, Le Horse Palace, Les Manèges humains, Thérèse Desqueyroux.
Dans ce numéro : un dossier de 32 pages (7 articles) sur la représentation de la femme dans les films, mais surtout sur la place des femmes derrière la caméra. Le coeur de ce dossier est une table ronde de 12 pages avec 4 québécoises de 3 générations : les cinéastes Léa Pool, Julie Hivon et Tara Johns et la productrice Stéphanie Morissette. Aussi la première entrevue accordée par Louise Archambault pour son film Gabrielle (6 pages), le plus grand succès du cinéma québécois en 2013. Également au sommaire de ce numéro, un entretien fleuve avec Denis Côté à l'occasion de la sortie de Vic et Flo ont vu un ours. Au fil de ces 8 pages, le cinéaste trace des parallèles entre ce 7e long métrage et ses films précédents. Les autres sujets de ce numéro : Hannah Arendt, Au-delà des collines, La Chasse, The Great Gatsby, Mud, Sarah préfère la course, The Must Be the Place.
Ce numéro, sorti le 11 décembre 2013, présente 12 Years a Slave en couverture : un texte de 4 pages qui met le plus récent film de Steve McQueen en perspective avec ses précédentes oeuvres. Puis, en primeur : 8 pages sur Arwad dont un entretien avec les réalisateurs. Et en exclusivité, un dossier sur le 50e anniversaire de la Cinémathèque québécoise (un entretien de 6 pages avec le directeur de la programmation et 8 pages sur les collections de l'institution). Aussi, au sommaire : un hommage à Michel Brault (6 pages) et des critiques des films L'Image manquante, Diego Star, La Grande Bellezza, La Passé, Dallas Buyers Club, etc.