La série culte !
Un terrible incendie ravage la maison des Baudelaire. Les parents y perdent la vie, laissant orphelins leurs trois enfants, Klaus, Violette et Prunille, qui jouaient sur la plage. M. Poe, l'exécuteur testamentaire des parents Baudelaire, place alors les orphelins chez un lointain cousin, le comte Olaf, qui compte bien tout mettre en oeuvre pour récupérer leur fortune.
Le comte de Morlange est si cruel qu'une malédiction le destine à se transformer en jeune renard les nuits de pleine lune...
Violences, humiliations : rien n'arrête le cruel comte de Morlange. Jusqu'au jour où un curieux vieillard lui prédit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformé en jeune renard les nuits de pleine lune...
Dès 10 ans.
La série culte !
Dans cette série, les malheurs succèdent aux malheurs, pour le plus grand désespoir des héros, et pour le plus grand plaisir des lecteurs... Le tout mené par la plume ironique et brillante de Lemony Snicket. Série Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire. La suite des savoureux récits tragi-comiques des Orphelins Baudelaire où les trois enfants affrontent une odeur détestable, un terrible accident de voiture, un serpent au venin mortel, un coutelas pointu, un cadenas rétif et le retour d'une personne qu'ils espéraient ne jamais revoir...
La série culte !
M. Poe confie les enfants à leur tante Joséphine, passionnée de grammaire. Joséphine tombe très vite sous le charme d'un certain capitaine Sham... et disparaît bientôt, laissant derrière elle une lettre d'adieu pleine de fautes de français : étrange pour une personne douée en orthographe...
La série culte !
Les trois enfants sont confiés, cette fois, à un parent très distant qui possède la scierie Fleurbon-Laubaine. Ils doivent y travailler sous la surveillance de l'horrible E.T MacFool. Ce n'est déjà pas bien drôle mais leurs vrais ennuis commencent quand MacFool fait un croc-en-jambe à Klaus ; il tombe et ses lunettes se brisent. Klaus se rend chez l'ophtamologiste voisin, le Dr Orwell. À son retour, son comportement est étrange. Il reconnaît à peine ses soeurs, agit comme un automate, puis cause un grave accident avant de sortir brusquement de son état léthargique. Aussitôt, le même scénario se reproduit.
La série culte !
Violette, Klaus et Prunille devraient se plaire dans leur nouveau collège. Mais ce collège-ci est assez spécial, et la vérité est que les orphelins s'apprêtent à y vivre un bien sinistre épisode. À titre d'exemple, dans ces treize chapitres, les trois enfants vont devoir faire face à une tribu de crabes malveillants, à un règlement stupide, à de longs récitals de violon, à de redoutables tests de contrôle et au système métrique...
Comment se reconstruire après la perte d'un être cher ?Clémentine joue du violoncelle depuis l'âge de 6 ans, entrainée par son père, violoniste professionnel et professeur implacable. Pour lui, c'est évident : sa fille suivra ses traces. Mais entre les nombreuses répétitions et sa difficile intégration dans son nouveau collège, Clémentine n'en peut plus. Elle se dispute violemment avec son père et décide d'arrêter le violoncelle. Plus question de passer son temps libre à faire des gammes, elle va enfin vivre la vie de toutes les jeunes filles de son âge.
Mais son père meurt d'une crise cardiaque, le lendemain même de leur dispute.
Clémentine est-elle responsable de la mort de son père ?
Un roman pour les enfants dès 10 ans.
La série culte !
Violette, Klaus et Prunille sautent dans une camionnette qui se rend à la clinique Heimlich afin d'y apporter leur soutien aux malades. Parvenus à la clinique, les orphelins acceptent de travailler en sous-sol, dans la salle des archives. Sur un article, les orphelins trouvent une photographie de leurs parents, jeunes. Sous la photo, une phrase laisse entendre que l'un d'eux est encore en vie...
Le dernier tome de la série culte !
Tout a une fin - même les Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire. Nous avions été prévenus : pas de happy end (en français dans le texte), et ce volume 13 contient sa dose d'ingrédients navrants, contre lesquels Snicket, comme toujours, met en garde son " Cher lecteur " - terrible tempête, breuvage douteux, cage à oiseau surdimensionnée (pour misérable oiseau rare), secret troublant concernant le passé des parents Baudelaire... Une triste fin, alors, ou une fin triste ? Douce-amère plutôt, et drôle, et profonde - et plus concentrée encore en inattendu que les précédents épisodes. Tout commençait mal, tout finit-il donc mal ? Pas vraiment non plus, puisque en réalité rien ne finit jamais, ni d'ailleurs ne commence, telle est la conclusion en substance... Après la tempête susmentionnée, le trio Baudelaire se retrouve en effet sur une île étrange - celle qui voit s'échouer sur ses grèves, tôt ou tard, tous les vestiges du passé, tous les débris de naufrages au propre comme au figuré, sans parler de quelques naufragés. Accueillis par les îliens, apparemment pacifiques, les trois enfants vont faire là de bien curieuses découvertes, y compris sur leur propre histoire. Cette île sans nom serait-elle le dernier lieu sûr à l'écart du monde perfide ? Aux jeunes Baudelaire d'en décider, et au lecteur au moins autant, car pour finir tout reste ouvert dans ce beau conte philosophique riche en suspense, en interrogations, en poésie, en tendresse aussi... mais sans excès de sucre.
Une seule lettre vous manque, et tout est dépeuplé.
Sa Majesté Boris III, roi du Poldovo, s'embête. Quoi de mieux pour s'occuper qu'une bonne guerre? Et voilà que les hostilités sont engagées... contre une malheureuse lettre de l'alphabet ! Une joyeuse plaisanterie? Hélas, l'application pointilleuse de la loi du roi Boris mène vite le Poldovo au chaos. Mais la résistance s'organise...
La série culte !
Après le désolant épisode du collège, tout paraît s'arranger pour les orphelins Baudelaire : les voici de retour dans leur ville natale, où un couple chic et fortuné, Jérôme et Esmé d'Eschemizerre, vient de les adopter. Violette, Klaus et Prunille vont-ils trouver le bonheur au 667, boulevard Noir, à quelques rues seulement de leur ancien quartier ? Las ! les choses s'annoncent mal : pour gagner l'appartement où on les attend, au dernier étage (est-ce le 48e ou le 84e étage ? Le portier ne se souvient jamais !), il leur faut gravir un interminable escalier à vis, chichement éclairé par des bougies. Car, dans ce quartier huppé, on suit de près la mode et tout ce qui est in et out. Or, ces temps-ci, les ascenseurs sont out et les lumières aussi. En revanche, les orphelins sont in, mais est-ce une si bonne nouvelle ? Un appartement grandelet - soixante-et-onze chambres et autant de salles de séjour, salles à manger, salles à digérer, salles de bal, salles de bains et salles sans destination apparente ; un tuteur bien-gentil-mais ("Je ne discuterai pas" est sa devise) ; une tutrice femme d'affaires, in jusqu'au bout des ongles... N'en disons pas plus, si ce n'est qu'on trouvrera aussi : une cage dans une cage ; pas mal de vertiges ; triple dose de noirceur, ténèbres, obscurité (bien que la lumière redevienne in dès le deuxième chapitre) ; une brève -et dramatique- réapparition des enfants Beauxdraps ; un souterrain secret, guère éclairé non plus ; et une bonne louchée de trompe-l'oeil, faux-semblants, artifices, comte Olaf, leurres et duperies, tous ces termes étant plus ou moins synonymes. Bref, une histoire de faux. Et un épisode vertigineux, brillant et sombre comme un diamant noir.
La série culte !
Nous retrouvons dans ce tome 10 des Désastreuses aventures Violette et Klaus Baudelaire dans le pétrin où les avait laissés le tome 9, et Prunille n'est pas mieux lotie, emportée vers les cimes dans l'auto noire du sinistre comte Olaf, sur les genoux de la sinistre Esmé, en compagnie de leurs sinistres comparses... Rappelons que l'expédition vers les monts Mainmorte a pour but de retrouver le dernier QG des VDC, mystérieuse société secrète à laquelle semblent avoir appartenu les parents Baudelaire. Le but d'Olaf est de supprimer les dernières preuves de ses crimes en série, le but des enfants est de retrouver, peut-être, celui de leurs parents qui serait encore vivant. Ils trouveront bien le fameux QG, mais pas de chance : il vient juste de brûler...
De très mystérieux personnages apparaissent dans la sphère du comte Olaf, plus méchants, plus vicieux et plus intelligents que lui (si cela est possible !).
Violette et Klaus échapperont-ils à un saut fatal au fond d'un précipice ? Survivront-ils aux traîtrises des monts Mainmorte, ravins, cavernes hébergeant des créatures étranges, nuées de féroces moucherons des neiges ? Retrouveront-ils leur petite soeur, progresseront-ils dans leur enquête autour du mystérieux VDC, sauront-ils enfin si l'un de leurs parents est encore en vie ?
La série culte !
Dans ce pénultième épisode, Violette, Klaus et Prunille Baudelaire aboutissent, à un curieux hôtel nommé " Dénouement ". Dans deux jours aura lieu un grand rendez vous VDC, et ils sont chargés par la mystérieuse Kit Snicket, de se déguiser en groom pour espionner les agissements suspects des hôtes, ennemis ou membre de VDC.
La série culte !
Et voilà nos héros adoptés par une bourgade entière ! " Adoptés " ? Est-ce bien le mot ? Ils aideraient plutôt aux tâches les plus dures... dans un endroit qui fait frémir. Mais surtout, pour les trois enfants, la petite ville est une déception : son nom énigmatique, V.D.C., laissait espérer la clé du secret qui les hante et le moyen de sauver leurs amis Beauxdraps. Or Villeneuve des Corbeaux, clairement, n'est qu'une fausse piste de plus...
La série culte !
Sortis du coffre de la voiture du comte Olaf (fin du tome 8), Violette, Klaus et Prunille se retrouvent à l'entrée d'un parc forain. Là , règne Madame Lulu, voyante de son état, que le comte Olaf est venu consulter. Malgré leur angoisse, les enfants décident de rester ; il leur faut découvrir si l'un de leurs parents est bien encore en vie. Déguisés en monstres de foire, ils se font engager par Madame Lulu... Dense, tout en interrogations et en doutes, pas tendre et pourtant éclatant d'humour, ce tome 9 introduit une question grave : Peut-on vaincre les crapules sans user de leurs méthodes ? Déjà fort tourmentés, les orphelins ne cessent de se questionner à ce sujet...
La série culte !
Nous les avions quittés sur un radeau emporté par un torrent en crue, nous les quitterons cette fois sur la plage embrumée de Malamer, en une sorte d'étrange retour à la case départ...Entre les deux, tout se passe au fond des mers. Recueillis à bord d'un petit sous-marin boîte à sardines, commandé par un capitaine Virelevent aussi jovial que soupe-au-lait, nos orphelins vont découvrir qu'il n'y a décidément jamais de réponse sûre à la question : " Ami ou ennemi ? ".Quant au comte Olaf, même s'il n'occupe ici qu'un strapontin ou quasi, il est bien présent néanmoins et patrouille lui aussi à bord d'un sous-marin à son image. Encore une fois, les trois enfants - et leurs lecteurs - vont se retrouver face à plus d'interrogations encore qu'ils n'en avaient au départ. Rendez-vous à l'hôtel Dénouement - où qu'il se trouve...
" Louis, n'admets jamais que tu es juif. Évite de donner ton nom de famille. Tu es Louis. Seulement Louis. "Dès 12 ans.-
Août 1940. Louis, dix ans, fils d'émigrés polonais, partage sa vie entre les corons, le quartier des mineurs de charbon, et le Café des Amis, tenu par madame Jeanne. Il rend de menus services aux clients du café, qu'il entend parler de la guerre, sans vraiment s'en soucier. Mais avec la défaite française, l'occupant nazi et la police commencent à arrêter les Juifs. Louis apprend alors par son père qu'il est lui-même juif.
Un regard d'enfant sur la rafle du Vel d'Hiv'Max a un poisson rouge ! C'est sa récompense : à l'école, il a reçu un prix d'excellence. Max a aussi une étoile jaune sur la poitrine. Il la trouve jolie, mais ses camarades se moquent de lui et disent qu'elle sent mauvais. Il ne comprend pas pourquoi. Comme il ne comprend pas cette histoire de " rafle " dont parlent ses parents. Ils disent qu'elle aura lieu demain, mais c'est impossible : demain, c'est son anniversaire ! Il sait déjà que sa soeur lui a fait un cadre en pâte à sel et il espère que ses parents lui offriront un second poisson...
Max et les poissons récompensé :
Prix Opalivres 2016
Prix PEP 42-ASSE Coeur Vert 2016
Prix inter-salon du Montargois 2016
" J'ai toujours trouvé nos codes barre très pratiques. Mais nettement moins le jour où je n'ai pas pu entrer à l'école parce que le mien stipulait que j'étais une vache. "
Le surnom de Paul, c'est 13NRV. Ce sont les derniers symboles de son code barre, celui qui lui permet, comme à ses camarades, de conserver toutes les données qui le concernent : nom, âge, allergies... Mais ce matin, Paul s'est cassé la figure, et son code est éraflé. Depuis, l'ordinateur est formel : Paul est une vache. Le concierge ne peut bien sûr pas le faire entrer à l'école !
Pourtant, Paul conteste : c'est un petit garçon, beugle-t-il ! Alors Paul va tenter le tout pour le tout pour prouver qu'il est bien un humain...
Dès 8 ans. Prix de Littérature Jeunesse 2013 en Nouvelle Calédonie
Le nouveau roman tendre et juste de Pauline AlphenLa vraie vie de la mort. Je m'appelle Ambre et je vais vous raconter comment la mort est entrée dans ma vie. Bon, je ne vais pas vous mentir, c'est triste. Mais on peut faire des trucs pour apprendre à vivre avec, pour ne pas se noyer dans la tristesse. On peut apprendre à nager quoi !
Un roman sur le deuil, lumineux, sensible, et même drôle ! Par l'autrice de "La vraie vie de l'école" (Prix Renaudot 2019 des Benjamins et Prix du livre jeunesse 2018 de Saint-Orens).
Roman pour enfant à lire à partir de 9 ans.
Prenez une histoire toute bête, choisissez parmi 40 sauces plus alléchantes les unes que les autres, mélangez, savourez... et recommencez ! C'est l'histoire d'un chat qui essayait d'attraper un oiseau et qui tombe à l'eau. Mais à la sauce africaine, cela devient l'histoire d'un lion qui tombe dans une mare en essayant d'attraper une poule d'eau ! À la sauce à l'A, cela devient le faux pas d'un chat qui n'attrapa pas un gras choucas. À la sauce de l'oubli, c'est l'histoire d'un chien... non, n'était-ce pas plutôt un chat ? Enfin, d'un animal qui... qui quoi, au fait ?Découvrez les mille et une recettes de cette histoire !
" Vous ne me connaissez pas, mais j'ai décidé de vous écrire quand même. Je pense que vous êtes de ma famille. Alors je vous demande d'être gentille et de me répondre. "
Olivia a douze ans et demi. Elle habite seule avec sa mère et veut absolument en savoir plus sur sa naissance et sur son père, autour desquels règne le plus grand des secrets. Elle décide d'entamer une correspondance avec Madame Barrois, dont elle a trouvé le nom en fouillant dans les affaires de sa mère. Peut-être cette femme âgée, qui semble porter le même nom de famille que le père d'Olivia, en saura-t-elle un peu plus sur ses origines ? Commence alors un émouvant échange épistolaire entre une enfant qui cherche désépérement à connaître la vérité et une vieille dame qui aurait préféré l'oublier...
Mon papa a la tartiflette. C'est pas le vrai nom de sa maladie, mais on a décidé de l'appeler comme ça, car dans la famille on adore manger ! Résumé : Ça s'est fait petit à petit. A présent, voilà , le papa d'Olivia est en bas, sans trop d'espoir que ça s'arrange. Atteint d'une maladie qu'il surnomme " la tartiflette ", il ne peut plus monter l'escalier de la maison. Le quotidien de toute la famille se réorganise autour de lui à mesure que son état s'aggrave. Pourtant, la vie doit continuer pour Olivia, entre fou-rires et larmes, auprès de sa maman, de son chat et surtout de son papa.
Un sujet difficile (la fin de vie d'un parent) abordé sans pathos à hauteur d'enfant : on rit et on pleure avec Olivia, en suivant son quotidien et celui de sa famille.
Dès 10 ans.
Un nouveau roman très juste d'Hubert Ben KemounRésumé : Alvin est tétanisé : la maîtresse a convié son père à venir parler de son travail devant la classe. Sauf que son père n'est pas pompier ou justicier ! Il est jardinier, et c'est la honte... Et s'il disait à ses camarades que ce n'est pas son vrai travail, mais seulement une couverture ? Qu'en fait il écrit en secret des paroles de chansons pour des chanteurs hyper célèbres et qu'il est même doublure de cinéma ? Juste un tout petit mensonge...
Dès 10 ans.