Une autobiographie ? un peu !
Un récit ? un peu aussi !
Un regard ? Parfois !
Une analyse ? Quelque peu !
Un recueil ? Certainement !
Un hommage ? Bien plus...
Ce livre de vie n'est ni plus, ni moins que la trace de mon passage dans cet univers fait de camions rouges...
Le monde des sapeurs-pompiers qui m'a fait grandir et à qui je dois ces rencontres avec mon père, mes pairs, mes repères. Ceux qui ont marqué ma vie professionnelle et personnelle et qui m'ont permis de pouvoir écrire ce livre aujourd'hui et tourner ma page de vie...
Un témoignage rendu à ces femmes et à ces hommes d'honneur, mais aussi à ma profession et ce après plus de 53 années passées en son sein. Son histoire, à travers la mienne, son évolution et son avenir, le tout sous le joug de mon regard d'auteur...
Un hommage rendu aux soldats du feu, Ã celles et ceux qui honorent notre corporation !!!
Témoignage du combat pour mener à une guérison improbable deux enfants handicapés sur quatre. Deux handicaps sans cause identifiée.
Personnel de direction pendant 33 ans de la ZEP aux zones favorisées, du collège au lycée général et technologique,en passant par le lycée professionnel, Katia Blas livre ses constats amers et ses combats au moment où le ministre parle de refonder l'école... Oui, mais avec qui, comment, pour quels objectifs ? Avec de nombreux exemples, des anecdotes vivantes, ce livre présentera l'« envers du décor » à beaucoup de parents, d'élèves ou de personnels...
L'ouvrage traite des risques psychosociaux dans la gendarmerie. À l'instar d'autres professions à risques, mais aussi de métiers, qui aujourd'hui, ont révélé des souffrances que personne n'imaginait, (France télécom, la Poste, etc...), la gendarmerie connait des problèmes dont la trentaine de suicides par année est le niveau émergeant. Mais plus qu'un « traité » de psychopathologie, cet ouvrage est le témoignage du vécu « policier » et « militaire » d'un gendarme. Fort d'un constat et riche d'expériences, l'ouvrage apporte des solutions de prévention et des prises en compte de la souffrance si particulière dans la gendarmerie. Il apporte des pistes, des ressources qui ne nécessitent pas de moyens conséquents, mais simplement une volonté d'aider ceux qui sont aujourd'hui « enfermés » dans leur détresse. Il ne s'agit pas d'un ouvrage critique ou polémique. Le métier de gendarme est passionnant, épanouissant mais il a des spécificités très particulières qui le différencie de toutes les autres professions : Son aspect militaire et policier, la vie en caserne (on travaille et on vit sur le même lieu), le port de la tenue jusque chez soi, le port de l'arme jusqu'au domicile, la discipline, le cérémonial, mais aussi la confrontation permanente à toutes les violences, la mort, la haine, les injures et toutes les souffrances de nos concitoyens. S'adressant en particulier aux gendarmes, aux policiers et aux militaires, il intéressera tous ceux qui exercent un métier lié à l'aide (psychologues, psychothérapeutes, médecins, etc...), mais aussi ceux qui simplement souhaitent connaître ce qu'est vraiment le métier de gendarme dans sa réalité souvent douloureuse et parfois cruelle. À priori, aucun ouvrage de ce type sur la gendarmerie n'a été édité.
Un instituteur, fondu de recherches sous-marines, un architecte, amateur de plongée sur des amphores à Saint-Tropez, décident de s'intéresser à un vaisseau qui s'est fracassé en 1746 sur les rochers de Porh Lost Kah, sur la côte sud-ouest de Belle-Ile en Mer.
Le « Prince de Conti » revient de son premier voyage autour du monde et recèle en ses cales soieries, porcelaines, café, thé et... lingots d'or en provenance de Wanpoux en Chine.
Un lingot d'or est sorti de la mer par les plongeurs dès le premier jour de plongée.
Ils déclarent leur trouvaille à un autochtone, venu les voir sur le site, et se disant le représentant de l'autorité maritime, ainsi que syndic des gens de mer de Belle-Ile en Mer.
Les plongeurs s'adjoignent un notaire comme commanditaire, l'auteur.
Mais, l'aventure se complique quand l'instituteur décide, malgré ses engagements écrits, de faire cavalier seul et de mettre à sac le site de recherche.
Il est rejoint par des comparses, aussi malintentionnés que lui, et de nombreux lingots d'or sont remontés à la surface et vendus, sans aucune déclaration aux autorités maritimes.
L'architecte, observateur de ce saccage, prévient le Ministère de la Culture qui dépêche une vedette maritime sur place et fait cesser le pillage.
Mais la justice condamne injustement l'auteur, inflige de trop légères peines aux instigateurs du pillage et absout totalement les intervenants de deuxième main, pris sur le vif, qui ont retiré des lingots de la mer, en ont gardés et en ont vendus.
Mais......... où sont passés les lingots ?
Je suis gynécologue-obstétricienne. Je viens de fêter mes quarante ans. Les vacances d'été touchent à leur fin. Un soir où je palpe machinalement mon sein gauche, je sens comme un petit grain de riz sous mes doigts. Insignifiant. Un kyste, certainement. Par acquit de conscience, je passe une échographie. Puis une biopsie, le 11 septembre. Le verdict tombe aussitôt, c'est un cancer ! Un cancer infiltrant. Alors, tout s'enchaîne : examens complémentaires, qui mettent au jour un deuxième foyer cancéreux ; exérèse des tumeurs et des ganglions ; ablation du sein ; chimiothérapie ; radiothérapie ; hormonothérapie ; reconstruction mammaire. Très vite, je retire ma blouse blanche. Découvrant l'envers du décor, je pose un regard de soignée sur le monde soignant que je croyais connaître. Je supporte la lourdeur des traitements. Courageusement ? non, je descends au fond du puits. Je suis morte. Le cancer relève de la bombe atomique. Quiconque ne l'a pas vécu dans sa chair ne peut jauger la violence de la déflagration qui se produit chez le sujet malade. Puis, un jour, la vie reprend... Lentement.
Bruxelles, début de l'année 2004 : un grand élargissement de l'UE va avoir lieu au printemps, l'adoption de la constitution européenne va être célébrée en automne, et la fameuse directive Bolkestein va être publiée en fin de journée. Le succès est à l'oeuvre, il est attendu. Sa clé ? La langue de travail : le novespéranto. Il électrise les réunions, il inspire les législations. Un nouveau commissaire s'apprête à le parler. Il vient d'être nommé. Il quitte la clémence du climat finistérien pour la pression barométrique bruxelloise, et il participe à sa première réunion de travail. Grâce à ses mémoires, nous assistons enfin à la construction européenne vue, expliquée et commentée depuis la salle de réunion de la Commission. Elles nous rendent témoin de confraternités, de brainstormings, d'une confrontation avec le Désamour Démocratique et même d'une révélation sur le sort de l'homme européen en ce début de siècle. Car faire l'Europe est tout sauf une « cosa mentale », comme on dit en Bretagne. Le corps est en jeu. Celui de l'auteur des mémoires comme celui de ses voisins de table. Une possession les anime, le novespéranto les vitalise. Aussi, tantôt à fleur de peau, tantôt didactiques, ces mémoires nous invitent à vivre à bien des égards une réunion initiatique.
Mon métier de médecin est de proposer mes services à ceux qui viennent me demander des soins.
Certaines de ces rencontres m'ont particulièrement touchée, et j'ai eu besoin d'en transmettre la substance, dans le plus strict respect de la confiance qui m'a été donnée et du secret médical. J'ai voulu témoigner de ce que je voyais du monde par ma fenêtre.
Ce livre est aussi l'histoire d'un secret, de mon cheminement, et de la naissance d'une profonde amitié.
Je m'appelle Louis, j'ai 8 ans. Jusque-là , tout va bien ! Mon histoire s'est rapidement compliquée car je suis porteur du syndrome de Dravet, maladie rare, très handicapante ! Une forme d'épilepsie précoce, pharmaco-résistante qui s'accompagne de nombreux autres symptômes et troubles. À travers cet écrit, maman a eu envie, et sûrement besoin, de vous conter avec émotion un petit bout de notre vie dans laquelle Dravet mène entièrement la danse... Vous découvrirez un quotidien ponctué par les difficultés, les peurs, la détresse, les angoisses, le manque de solutions. Mais également les joies, les rires et avant tout l'Amour qui nous font tenir et qui restent, aujourd'hui, nos meilleures armes contre ce géant qui m'a kidnappé à l'aube de ma vie et qui ne cherche qu'à m'engloutir.
« Je ne serai plus jamais la même et toi tu ne changeras pas ou si peu, j'aurais tellement aimé que ce soit l'inverse ! » (Maman)
Un livre témoignage sur la Fibromyalgie une des maladies « invisibles » mais pourtant bien réelles.
C'est l'histoire d'un petit garçon qui dès son plus jeune âge n'a qu'un rêve : devenir policier. Il va le réaliser. Considéré comme un bon élément, il est promu à un bel avenir. Seulement ceux qui ne tarissaient pas d'éloges sur lui vont apprendre qu'il est gay. À la fin des années soixante-dix, il n'est pas facile dans la police de porter cette étiquette. Il est poussé à la démission sans autre forme de procès.
Cette histoire est la mienne. Ce que j'ai pu vivre à ce moment-là est encore difficile à décrire, et mettre des mots sur des maux n'a pas été aisé. Ce fut comme une petite mort. Tout mon avenir était à recomposer, mon devenir était anéanti. Heureusement j'ai eu la grande chance de rencontrer à ce moment-là , alors que j'étais loin de l'imaginer, un ange qui quarante-cinq ans après, est toujours à mes côtés.
Élise livre ici un témoignage bouleversant sur son addiction à l'alcool et sa personnalité dite « Borderline ». Enfance, alcoolo-dépendance, psychothérapies, psychiatrie, Baclofène, Krav Maga, amours sinueuses...
Suivez-là de sa plus tendre enfance jusqu'à l'âge adulte.
Ce voyage au coeur de la diaspora d'une famille corse de 1825 à nos jours, témoigne de notre attachement viscéral à l'île de nos pères et à son histoire. Débarquant à la gare de Toulon en 1922 après une traversée Bastia-Marseille mouvementée, zia Minia en compagnie de ses cinq enfants, remontait à pied le Boulevard de Strasbourg, sans oser emprunter le tramway. Dominique et Jean marchaient devant avec leurs baluchons, et le nez en l'air regardaient les maisons, en s'émerveillant à la vue des persiennes qui ornaient les fenêtres. Et tous suivaient scrupuleusement les rails du tram, pour être sûrs de ne pas s'égarer, jusqu'à leur destination finale, le quartier Rodeilhac.
L'écriture est une drogue dure est un titre à prendre au premier degré, puisque l'homme dont on va parler y est accro au dernier degré. Enfant, Jean-Pierre Raison ne s'est jamais rêvé en écrivain. Vocation tardive, le goût d'écrire ne s'est emparé de lui qu'au régiment (à 25 ans !), pour ne plus jamais le quitter. Au fil du temps, sa passion pour l'écriture n'a fait que s'amplifier. Le phénomène a empiré, au point de tourner à l'addiction. Ce qui aurait pu n'être qu'un plaisir parmi d'autres, et un penchant assumé, s'est transformé en vice suprême, quasi irrépressible. Dangereux la vie d'artiste quand l'écriture devient drogue dure ! Jusqu'à prendre le pas sur tout, y compris sur le travail, pour faire de vous un chômeur de longue durée. Jusqu'à constituer une raison de vivre en concurrence avec la femme aimée. Jean-Pierre Raison en est à ce stade ultime quand, pour s'en sortir, sinon pour sombrer un peu plus, mais peut-être en beauté, l'idée lui vient de conter sa dérive en se racontant lui-même. De mettre ses tripes sur la table pour crever un abcès aux allures de tumeur. Ce livre pourrait s'intituler « Le cancer de l'écriture », car il y est question de rechute et de rémission, d'enfer et de damnation, de salut et de rédemption.
Il ne s'agit pas, ici, de faire l'apologie de la « famille nombreuse », ou au contraire de la dénigrer. Clopine a longtemps cru que Gide avait raison de dire « Familles, je vous hais ! » Elle n'en est plus si sûre : après tout, les orphelins ont quelques raisons de ne pas y croire. Il ne s'agira donc que des « petites » histoires d'une « grande » famille, par le plus grand, et dernier, de ses numéros.
Le labyrinthe est un voyage initiatique dans la mémoire de l'auteur. Le cerveau y est présenté comme une ruche constituée de milliers d'alvéoles, chacune de ces alvéoles renfermant un souvenir, un petit morceau de vie. En faisant ce voyage, l'auteur espère trouver les réponses aux questions qu'il se pose depuis toujours. Pourquoi cette famille-là ? Pourquoi cette histoire-là ? Pourquoi cette maladie-là ? En sortant du labyrinthe, l'auteur aura trouvé d'autres questions! Peut-être un deuxième voyage sera-t-il nécessaire...
De l'odeur du jasmin et de la passiflore du bled de notre jeunesse, nous passons à l'odeur de la pomme mélangée à l'herbe fraîchement coupée de la verte prairie de notre seconde vie. De salam labesse à qu'es aquo, il en aura fallu du temps pour nous désimprégner de l'un pour nous imprégner de l'autre ! Une succession de rejets avant l'adaptation définitive de notre nouvelle culture nous obligeant à fixer nos drageons racinaires ici, après la perte des êtres chers qui ont souffert pour nous laisser l'empreinte de leur passage. Les souvenirs lointains de notre enfance perdent la couleur qui animait nos parents et grands-parents. J'ai souvent entendu dire lors de la perte d'un ancien rapatrié, « c'est la Tunisie qui s'en va avec elle ou lui ». Je dois à mon tour et plus que tout autre, affermir mes racines pour fortifier l'arbre qui porte mes fruits. Le thé à la menthe et les dattes, sont définitivement occultés par les yaourts liquides et les boissons énergétiques... Quoique !
J'avais huit ans quand mon beau-père a commencé à me salir, en se servant de moi pour des rapports sexuels ! Je subissais en plus de cela beaucoup de maltraitance de la part de celui-ci et de ma mère. Puis à mes dix ans, va se rajouter l'inceste de mon frère. À mes 15 ans, je brise ce silence, et dévoile tout. Donc on me plaça chez ma tante, où là , un an de paix, puis un ami à elle va me violer en utilisant la violence ; ce viol m'aura encore plus détruite ! Malgré cela je vais essayer me reconstruire !
« Nombreuses sont les choses effrayantes, mais rien n'est plus effrayant que l'homme. » Sophocle Antigone 1er janvier 1996, peu après minuit. La nuit alentour efface les derniers bruits, les dernières lumières du réveillon. C'est une nuit opaque, froide d'hiver d'un petit bourg à la frontière suisse. Tout à coup, cinq coups de feu claquent, la rouge tragédie déchire le voile de scène, de brouillard et de nuit. Le petit bourg d'Ornex est devenu, dans l'ordre humain, universel. A deux pas, dans l'obscurité d'une maison pavillonnaire, un père vient d'abattre ses deux enfants. L'arme du crime est une carabine 22 long rifle, offerte par le grand-père des enfants parce que le destin est aveugle. La petite est morte, le garçon mourra à l'hôpital de Genève peu après. A 250 kilomètres, la mère d'Hélène et Christophe dort chez elle. Le récit qu'elle écrira est un long cri déchirant, parfois halluciné mais toujours d'une implacable précision. Nous assistons à une descente aux enfers dans l'unité de temps et d'action de la tragédie antique. Cette jeune femme sensible et forte est ainsi la bouche d'ombre et de soleil qui traque le malheur jusque dans les détails. Nous ne sortons pas indemne d'une pareille lecture mais plus avertis de notre humanité partagée. Nous défions quelque lecteur que ce soit d'abandonner cette mère en quête de résurrection jusqu'à la dernière ligne confessée.
Cet essai au ton caustique et rempli d'humour décrit sans aménité l'univers de travail d'une Directrice Générale d'une commune communiste de 9000 habitants située en Bretagne profonde. L'ambiance d'une collectivité territoriale où règnent gabegie, ineptie, sottise, violence, sectarisme, fainéantise, incompétence et surtout népotisme grandissant, y est passée au lance-flamme...
« Qu'il en soit de mon regard d'enfant, d'adolescente ou d'adulte, j'ai toujours pu observer que la vie est courte et que l'on se doit de savourer chaque instant... » Le parcours éprouvant d'une femme, le combat transperçant d'une mère... Une maman amputée, une maman déchirée, une maman qui a connu le deuil de son enfant, une maman qui lève les voiles sur un sujet des plus tabou pour que les femmes, les mères à l'histoire semblable se sentent moins seules, se sentent épaulées et comprises. Partant de sa dérive et allant jusqu'à sa renaissance, un chemin parsemé d'embûches avec ses anecdotes, ses sentiments en fonction de la période qu'elle vit, la façon qu'elle a emprunté pour se relever ...
Relier à 18 ans, seul en moto, la Laponie à l'Asie Mineure, visiter en Vélosolex les Caraïbes et faire ensuite deux fois le tour du monde ne sont que le prélude de cette « double vie » originale, que l'auteur et son épouse vous font ensuite partager. La première est professionnelle. Tandis qu'elle ouvre des magasins inédits, il lançe avec succès son cabinet de conseils et vous fait découvrir des faces cachées de multinationales et de banques. S'il enseigne seul à la fac et écrit ses bouquins, c'est ensemble qu'ils jouent au Monopoly, grandeur réelle, abordant l'immobilier autrement. Leur seconde vie, menée en parallèle, les transforme en « romanichels » à temps partiel. Parcourant le monde, au départ en camionnettes, ils vous entrainent en des aventures peu courantes. Vous découvrirez ainsi de l'« intérieur » quelques aspects inédits de pays étranges ou lointains. Des anecdotes nombreuses en éclairent des aspects humains ou insolites. Comprendre enfin ce qu'étaient leurs ancêtres, des immigrants, hors du commun eux aussi, vous fera peut être deviner d'où proviennent leurs comportements atypiques. Cette autobiographie comporte plus de 300 pages, dont 1/3 de documents ou d'illustrations.
Je suis soumise.... Dans cet ouvrage, je vous fais part de mes premières expériences et de mes ressentis lors de mes débuts dans le monde du BDSM. Les faits relatés, je les ai réellement vécus. Je vous livre ici mon journal intime... ATTENTION CERTAINS PASSAGES SONT CRUS ET UNIQUEMENT DESTINÉS À DES ADULTES AVERTIS. Merci
Je raconte l'itinéraire que j'ai suivi de mon abandon à l'adoption en passant par ma construction à la recherche perpétuelle de mes origines. Je suis tel un arbre qui grandit comme il peut sans avoir de racines et qui m'en fabrique par l'apprentissage de la vie et de l'humain.