Ce guide unique propose un voyage hors des sentiers battus parmi des centaines de villes, villages et site français que des liens historiques relient au Canada.
Que ce soit pour le simple plaisir de partir à la découverte de ses racines ou de retrouver les grands moments de l'histoire franco-canadienne, le lecteur constatera toute la richesse et la quantité des liens qui unissent la mère patrie et l'Amérique française.
Cette nouvelle réédition de Un tour de France canadien, revue, corrigée, augmentée et abondamment illustrée, constitue un guide précieux pour quiconque veut connaître la multitude de destins individuels qui ont été vécus en marge de la grande histoire.
Préfaces de Jacques Lacoursière et de Louis Duvernois
La chanson, la poésie et la montée du syndicalisme ont pavé la voie à la Révolution
tranquille. La mort du premier ministre Maurice Duplessis, contrairement à une certaine croyance populaire, n'y change pas grand-chose. Un million de jeunes n'avaient pas attendu la réforme scolaire pour se faire instruire. Des parents, eux-mêmes avides d'instruction,
y avaient veillé avec l'aide des communautés religieuses. En 1960, de toute façon, le moment de la revanche des cerveaux était arrivé.
L'élection des libéraux dirigés par Jean Lesage, en juin 1960, donne officiellement le signal de départ, mais on ne saura jamais s'ils furent portés par une vague ou s'ils l'ont créée.
Le nouveau premier ministre a du panache, mais c'est un traditionaliste. Il a fort à faire pour contrôler ses plus fringants ministres. Quels sont ses rapports avec ses vedettes et tout particulièrement avec René Lévesque ? Celui-ci a connu son chemin de Damas avec la grève des réalisateurs de Radio-Canada en 1958-1959, tissant alors des liens solides avec le monde syndical et celui des artistes.
Lesage avait des réticences face à la nationalisation de l'électricité, à la création d'un ministère de l'Éducation, à l'établissement d'une caisse de dépôt et placement. Dans chaque cas, que s'est-il passé exactement ? Il est par contre à son meilleur au moment des négociations fédérales-provinciales qui se succéderont à un rythme effréné.
Juin 1966. À la surprise générale, mais à la grande joie de plusieurs, l'Union nationale
déjoue les libéraux et reprend le pouvoir. Est-ce le signe d'un essoufflement ? La tenue de l'Exposition universelle de 1967 et la visite du général de Gaulle provoquent plutôt une accélération. La montée du mouvement indépendantiste débouche sur la formation du Parti québécois, tandis que les institutions se laïcisent et que le féminisme s'affirme avec vigueur.
Les échanges avec la France s'intensifient et influencent grandement le parcours politique, économique, scientifique et culturel des Québécois qui se coupent par ailleurs du Canada français.
Pour plusieurs, la Révolution tranquille, c'était hier. Toujours attentif aux événements, Jacques Lacoursière relève un défi jugé bien difficile. Qu'on soit d'accord ou pas avec lui, on ne s'ennuie pas. Avec son style habituel, sa narration vivante, son sens de l'anecdote, son souci du détail, son respect des acteurs, il permettra aux moins jeunes un moment de nostalgie et aux plus jeunes la découverte de cette fameuse Révolution tranquille qui touche un sommet dans la décennie 1960-1970.
Le temps d'une promenade, retournez en 1870 pour découvrir la faune agitée qui animait les nuits de Québec. Arpentez les sites oubliés des maisons closes et des tavernes et les hauts lieux des mondanités bourgeoises. Voyagez de la haute société au petit peuple des faubourgs et abreuvez-vous de détails croustillants sur les moeurs de l'époque. Une façon ludique de découvrir Québec entre adultes consentants!
Facile d'utilisation et abondamment illustré, ce guide donne au lecteur des indications précises sur le parcours à suivre. Celui-ci peut s'effectuer d'un seul coup (environ 90 à 120 minutes, incluant marche et lecture) ou par sections, selon l'agenda du visiteur !
Les Services historiques Six-Associés se consacrent depuis 2000 à la communication et à  l'animation historiques : www.sixassocies.com
Le temps d'une promenade, plongez dans l'univers des guérisseurs d'autrefois, des Hospitalières aux médecins, en passant par les sages-femmes et les chirurgiens. Revivez les grands maux qui ont affligé Québec à une époque où la profanation des sépultures servait l'avancement de la médecine! Découvrez les remèdes concoctés par les apothicaires et repérez les cabinets des hommes de science, les hôpitaux et les hospices. Mais méfiez-vous des charlatans qui se disputent le privilège de guérir votre corps et votre âme
Facile d'utilisation et abondamment illustré, ce guide donne au lecteur des indications précises sur le parcours à suivre. Celui-ci peut s'effectuer d'un seul coup (environ 90 à 120 minutes, incluant marche et lecture) ou par sections, selon l'agenda du visiteur!
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Basés à Québec, Les Services historiques Six-Associés se consacrent à la communication historique sous toutes ses formes et misent sur la recherche pour rendre le passé accessible et vivant. Les Services historiques Six-Associés se démarquent par leur polyvalence en offrant également des animations et conférences sur mesure et des services professionnels de recherche et rédaction en histoire et patrimoine.
Il y a plusieurs Gaspésie. La baie des Chaleurs n'est pas la vallée de la Matapédia, la pointe de Forillon n'a que peu de choses à voir avec la région de Métis. Chacune a son caractère, son charme, chacune est susceptible de nous toucher. Dans ce carnet de croquis, Jacques Martineau dessine le littoral, ses grèves bien ventées, ses brumes, ses déferlantes, ses envolées d'oiseaux marins, ses falaises de roches stratifiées ou de conglomérats, ses petits ports, ses monolithes, ses anses presque secrètes, ses galets dont les teintes varient sans cesse et qui sont comme la signature de chaque plage.
Après une carrière dans l'enseignement, Jacques Martineau se consacre maintenant au dessin et à l'écriture. Il a déjà collaboré au magazine Nuit blanche et a publié Les 100 romans québécois qu'il faut lire (Nota bene, 1994). Certains de ses textes ont paru dans la revue Nouaison (1998-2001) et, en 2008, il a participé à un ouvrage collectif en hommage à Robert Melançon (Le Noroît). Avant La Gaspésie de Métis à  Miguasha, il a fait paraître Carnet de Québec aux éditions du Septentrion (2009).
Comment la ville de Québec a-t-elle évolué au fil des ans? Le photographe Patrice Laroche et le journaliste Jean-Simon Gagné, collègues au Soleil, ont choisi une soixantaine de photos anciennes du Vieux-Québec et de la Haute-Ville pour voir à quoi ressemblent aujourd'hui ces coins de la ville. Le changement est tantôt radical, tantôt surprenant, parfois la ville est à l'image de ce qu'elle était. Au-delà du paysage, c'est aussi la population, les magasins et les entreprises qui passent sous l'analyse des deux compères. Un beau livre qui donne à réfléchir et qui invite à se promener dans Québec pour revisiter la ville d'autrefois.
Patrice Laroche est né à Québec et connaît la ville comme le fond de sa poche, lui qui la parcourt quotidiennement à titre de photographe au Soleil depuis 1989. Il a au préalable obtenu son diplôme de l'école de photographie Marsan, à Montréal, et réalisé un stage au Soleil sous l'aile de Jean-Marie Villeneuve. Photographe reconnu, doté d'un sens de l'humour savoureux, Patrice utilise ses talents pour nous proposer sa lecture de la vie quotidienne dans ses oeuvres.
Jean-Simon Gagné a fait des études en journalisme à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et à l'École supérieure de journalisme de Lille (France). Il est chroniqueur journaliste au quotidien Le Soleil depuis 1998. Auparavant, il a été rédacteur en chef du journal Voir Québec. Au fil des ans, il a publié trois livres.
Faire en sorte que le patrimoine soit le reflet du quotidien, voilà tout un défi . Quà travers lui soient reconnus les mécanismes doccupation du territoire. Depuis plusieurs années, la MRC de Rimouski-Neigette, avec ses villes et ses municipalités, ont inscrit la conservation et la mise en valeur du patrimoine comme levier important de lidentité culturelle et comme moteur de développement.En parcourant Reflets dune région, Rimouski-Neigette vous découvrirez une variété de styles architecturaux de résidences, déglises et de presbytères présentés de manière originale. Vous partagerez lintimité de plusieurs familles et vous découvrirez aussi de magnifiques paysages en milieu rural.Source dinspiration pour tous les amateurs de patrimoine et dhistoire du Québec, cet ouvrage permettra peut-être de conserver un regard vigilant face aux tentations qui effacent inexorablement les traces de notre passé. 62 bâtiments signifi catifs du patrimoine religieux et résidentiel 12 textes inspirés par les mois de lannée écrits par des personnalités locales de toutes les générations de 16 à 86 ans Un index des noms cités complète cet ouvrage.
Jean-Étienne Poirier a séjourné en Mongolie afin de participer à la mise sur pied dune école de cirque pour jeunes en difficulté.Ce regard de lintérieur, dans un univers où la tendresse côtoie la cruauté, donne aux récits et aux photographies de cet ouvrage une perspective qui transcende les frontières culturelles.
Depuis belle lurette, les Travels de John Lambert sont devenus des ouvrages de collection. Les gravures se transigent à prix d'or, surtout celle de la carriole; son texte est constamment cité par les historiens anglophones et francophones et pourtant il n'existait pas, jusqu'à aujourd'hui, de traduction française. Militaire de formation et artiste dans l'âme, Lambert s'était bien préparé à son voyage en Amérique. Le fier Britannique voulait voir comment les uns assumaient leur indépendance et comment les autres vivaient leur conquête. « Les Canadiens français constituent un peuple tranquille et inoffensif, constate-t-il. Ils se contentent de peu. [] Ils apprécient les valeurs et les avantages du gouvernement sous lequel ils vivent. Auparavant pauvres et opprimés, ils ont accédé, depuis la conquête, à une vie aisée et indépendante. » John Lambert sait bien qu'il y a deux côtés à une médaille. Ce n'est jamais tout à fait blanc ou noir. Tout l'intéresse. Il a bien son petit bagage de préjugés, particulièrement sur la religion, et il ne manque pas de surprendre. Il dit ce qu'il pense et ce qu'il voit. Bien sûr, Lambert aborde les Canadiens de haut, ce qui ne l'empêche pas de les trouver sympathiques. Ils sont polis, se querellent rarement, « excepté quand ils sont ivres ». « Ils sont d'un naturel joyeux, paisible et amical ». Il décrit le pays et ses ressources; comme tous visiteurs européens, il s'arrête longuement à présenter les Indiens. Ceux-ci traversent une période sombre. Lambert le dit sans ménagement. « Show, don't tell » est sa règle. C'est un visuel. Ses exceptionnelles gravures en témoignent bien sûr, mais aussi son récit. Il en met plein la vue. Le tout méritait un soin particulier. Avec cette édition, Voyage au Canada de John Lambert amorce une nouvelle carrière.
LA MARCHE EST L'ENNEMIE DES ABUS DE JOUISSANCES ET DE SOUFFRANCES, elle nous rééquilibre et nous rend heureux ! Voilà ce qu'affirme Michel Chaloult dans ce livre en forme de journal de voyage. Il nous montre que l'écomarche, c'est découvrir à chaque pas, à chaque détour, un nouveau spectacle, de nouvelles odeurs, des couleurs et des gens toujours différents, renouvelés à l'infini de la vie. Nous pouvons le suivre dans son périple et profiter avec lui des beautés de la Gaspésie et de quelques États de la Nouvelle-Angleterre. Il donne, à coup sûr, le goût de prendre son temps et de partir sac au dos explorer de nouveaux horizons.Illustré par Irina Aszalos.
En suivant le cours du fleuve, cinq arrêts, cinq archipels.
Dépaysement garanti dans les îles du lac Saint-Pierre avec des chenaux aux eaux lentes taillés dans les dépôts d'alluvions que recouvre une végétation luxuriante.
L'île aux Grues nous plonge dans une douce atmosphère bucolique. Vieilles maisons et champs en culture ont l'air d'aller se perdre dans les eaux du fleuve, tandis que sur la Grosse Île voisine plane toujours le souvenir des milliers d'immigrants enterrés là .
Les îles du Pot à l'Eau-de-Vie ont conservé un phare où, à défaut de gardien, des estivants viennent le temps d'une nuitée faire une brève cure de silence et de tranquillité. Alors que les Pèlerins vivent exclusivement de leurs colonies d'eiders, de petits pingouins et de mouettes tridactyles.
L'archipel du Bic offre le spectacle intimiste de ses petites îles rocheuses tapies au fond de deux baies cerclées de collines et de montagnes.
Les îles de Mingan émerveillent avec leur flore unique et leurs monoÂlithes aux formes surprenantes que tourmentent les vents du golfe.
Chaque archipel a sa personnalité, chaque archipel a son charme.
Après une carrière dans l'enseignement, Jacques ÂMartineau se consacre maintenant au dessin et à l'écriture. Il a déjà collaboré au magazine Nuit blanche et a publié Les 100 romans québécois qu'il faut lire (Nota bene, 1994). Certains de ses textes ont paru dans la revue Nouaison (1998-2001) et, en 2008, il a participé à un ouvrage collectif en hommage à Robert Melançon (Le Noroît). Avant La Gaspésie de Métis à  Miguasha, il a fait paraître Carnet de Québec aux éditions du Septentrion (2009).
Ce Carnet de Québec propose une promenade en images et en mots au coeur de la ville. À l'incontournable Vieux-Québec s'ajoutent les quartiers Saint-Roch, Saint-Sauveur et Saint-Jean-Baptiste.L'artiste multiplie les points de vue : plongées et contre-plongées, plans éloignés et plans rapprochés. Il s'efforce d'épouser les mouvements et le regard du promeneur curieux qui lève la tête afin d'admirer un linteau sculpté ou une corniche, se rapproche pour contempler les détails d'un mascaron sur une porte, recule pour observer à loisir un groupe de maisons. Jacques Martineau dévoile ainsi à notre regard étonné les ensembles aussi bien que les détails, souvent négligés mais ô combien pittoresques et charmants.
«Le citadin dans sa ville, comme le poisson dans l'eau, est trop occupé à vivre et à se déplacer dedans pour s'en émerveiller.Pour y arriver, il faut qu'il en sorte au moins mentalement pour essayer de la voir comme un espace sauvage, une terra incognita, un espace vierge à explorer et à cartographier. En somme, il doit entrer dans la peau de l'étranger. Autre condition : devenir piéton. Comme le dit encore Huxley, pour vraiment voir les choses, il faut se servir de ses jambes aussi bien que de ses yeux.»Extrait de l'introduction
Après une carrière dans l'enseignement, Jacques Martineau se consacre maintenant au dessin et à l'écriture. Il a déjà collaboré au magazine Nuit blanche et a publié Les 100 romans québécois qu'il faut lire (Nota bene, 1994). Certains de ses textes ont parus dans la revue Nouaison (1998-2001) et, en 2008, il a participé à un ouvrage collectif en hommage à Robert Melançon (Le Noroît).
Le temps d'une promenade, faites un saut dans le temps pour découvrir les rouages du système judiciaire et les punitions infligées aux petits et grands criminels d'autrefois. De l'arrestation jusqu'au procès, en passant par l'emprisonnement et la torture, imaginez-vous juré de la Cour du Banc de la Reine et jugez des crimes de vos ancêtres : duel, vol, émeute, désertion, pillage, meurtre. Une visite où il est préférable de marcher droit
Facile d'utilisation et abondamment illustré, ce guide donne au lecteur des indications précises sur le parcours à suivre. Celui-ci peut s'effectuer d'un seul coup (environ 90 à 120 minutes, incluant marche et lecture) ou par sections, selon l'agenda du visiteur !
Les Services historiques Six-Associés se consacrent depuis 2000 à la communication et à  l'animation historiques : www.sixassocies.com